(Le public) C’était magique, ça m’a vraiment encouragé toute la journée. C’était parfait ! J’avais les jambes raides après hier. J’ai effectivement trouvé ça très chaud au pied de l’Alpe (d’Huez) et ça montait vite à cette époque. J’ai dû freiner un peu pour arriver au bon endroit. (Limiter la casse) Oui, c’est une question de gestion. Soit je tenais 30 secondes de plus et si ça ne montait pas plus vite je pouvais tenir. Soit il a continué à ce rythme et j’ai fait irruption dans la rue. J’ai préféré prendre mon rythme, là où j’ai fait le pneu. C’est le Tour de France : les jours où tu vas moins bien, il faut savoir mourir et endurer. »