Depuis le début de la semaine, les autorités avaient signalé 236 cas dans la province. Depuis le 27 mai, 9 437 doses de vaccin ont été administrées pour contenir la plus importante éclosion de cette maladie au Canada, rapporte le ministère de la Santé du Québec. Les responsables de la santé publique affirment que la plupart des cas concernent des hommes qui ont des contacts étroits avec d’autres hommes, mais soulignent que n’importe qui peut contracter la variole du singe, également connue sous le nom de variole du singe. Les vaccins contre la variole se sont révélés efficaces dans la lutte contre le virus de la variole. Cette maladie rare provient de la même famille de virus qui causent la variole, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclarée éradiquée à l’échelle mondiale en 1980. La variole du singe ne se propage généralement pas facilement entre les humains. Elle se transmet par un contact étroit prolongé par des gouttelettes respiratoires, un contact direct avec une peau lésée ou des fluides corporels, ou même des vêtements ou de la literie contaminés. Au 6 juillet, à travers le Canada, il y avait plus de 350 cas de monkeypox, dont environ 100 en Ontario, 13 cas en Colombie-Britannique et 8 cas en Alberta.