“A l’époque, on avait un Premier ministre et un ministre des Transports qui essayaient de faire en sorte qu’Uber ne vienne pas en France, ou pas en tout cas, et pendant ce temps-là vous aviez l’agent secret Macron, qui, derrière ses collègues de retour, il fait tout pour faire venir Uber en France, il se charge des amendements “clé en main” pour le débat parlementaire, a-t-il déploré. Pour lui, cela “en dit long sur la perception des choses d’Emmanuel Macron : il faut toujours affaiblir au maximum l’Etat, laisser le plus de place possible à ces grandes multinationales”. Pour M. Tasse, Emmanuel Macron “doit être entendu” dans cette affaire, “mais dans cette terrible démocratie qu’est la France, le président de la République peut tout faire, on ne peut même pas lui demander des comptes”, a-t-il dit. Enfin, M. Taché s’est prononcé personnellement en faveur de la création d’une commission d’enquête parlementaire.