Quelle est l’importance dans une telle épreuve de se qualifier pour la deuxième course ?Rien ne change, car on attendra le résultat Italie-Islande (18h00 jeudi). Ce deuxième match ne nous garantira peut-être pas la qualification. Quoi qu’il en soit, nous n’en aurons pas fini avec la mini-ligue en trois matchs. Quels ont été les mots de votre équipe après la victoire contre l’Italie pour éviter l’excès de confiance face à la Belgique ?Je n’ai pas eu besoin de beaucoup parler car seuls après le match ils étaient concentrés sur leur récupération et le match de demain (Jeudi). On parle d’osmose entre l’ancien et le nouveau, on peut dire qu’il y a une osmose entre les joueurs et le staff. Nous n’avions pas à le dire. Les filles savent ce qu’elles ont à faire, nous savons quel est notre objectif. « On travaille en équipe, il n’y a que onze postes de départ : onze de départ, douze d’attente. Les douze qui attendent sont dans le même état d’esprit que ceux qui partent. » L’idée est-elle d’offrir une base supplémentaire à cette équipe type face à la Belgique ?Tout est possible. Je n’ai pas eu le temps de discuter avec mes assistants car nous sommes partis rapidement après la session du jour. La devise après l’Italie était de bien récupérer, de bien préparer le match de demain (jeudi). Nous avons une nuit de réflexion avant d’annoncer aux joueurs qui joueront. Je peux compter sur mes 23 joueurs, c’est important pour moi. Comment Griedge Mbock a-t-elle ressenti le fait de ne pas être titularisée contre l’Italie ?Je parle à mes joueurs, je parle à tous mes joueurs. On travaille en équipe, il n’y a que onze positions de départ : onze départ, douze attente. Les douze qui attendent sont dans le même état d’esprit que ceux qui partent. On peut avoir besoin de tous, surtout pendant la compétition. Griedge Mbock, à l’entraînement avec Les Bleues. (A. Réau/L’équipe)
Qu’est-ce que tu n’as pas aimé contre l’Italie et qu’aimerais-tu revoir contre la Belgique ?Ce que je veux surtout revoir, ce sont les buts. Rien ne me dérangeait. Un match de football ne peut pas être parfait à 100 %. On a mis en évidence deux ou trois petites choses, offensivement, défensivement. Rien ne me dérangeait. Les filles se battent, vous ne pouvez pas être déçu. Ils ont montré qu’ils le voulaient vraiment. L’objectif est de répéter la même performance demain. Ce match aura lieu le 14 juillet, symboliquement est-ce important ?Nous y réfléchissons bien sûr. Mais nous ne devons pas nous tromper de but. Nous avons un jeu à jouer, à gagner. J’espère que le match et le résultat seront le feu d’artifice de notre fête nationale. » Wendie Renard : “Concentrée, déterminée et assidue”