Nous ne sommes pas habitués à être intimidés, pour ainsi dire. Mais malgré tout ça, on est sorti avec un match cohérent, on a bien défendu. Je ne pense pas que Pauline Peyraud-Magnin ait fait de grands arrêts, mais elles (les Belges) ont été dangereuses malgré tout. On marque dans deux moments clés de la première période : les premières minutes et les cinq dernières. Corinne Diacre, avant le match. (B. Cremel/L’équipe)
Le seul bémol est la blessure de Marie-Antoinette (fond), j’espère que ce n’est pas trop grave. C’est le genou. On va essayer de faire les examens assez rapidement. (Dans les modifications apportées à la formation de départ) Nous travaillons en équipe. Il faut donner du temps de jeu à tout le monde pour que toutes les filles soient inquiètes, c’est ce qu’on a fait ce soir et ça paye quand même. »